Mauvaise nouvelle pour les propriétaires : la taxe abri de jardin subit une nouvelle hausse en 2025, alourdissant encore les charges liées aux constructions annexes. Voici ce qu’il faut retenir pour anticiper cet impôt.
L'année 2025 marque une nouvelle augmentation de la taxe d’aménagement, communément appelée « taxe abri de jardin ». Conformément à la revalorisation annuelle basée sur l’indice du coût de la construction publié par l’Insee, cette taxe impactera davantage les propriétaires. En 2025, la valeur forfaitaire est portée à 930 € par mètre carré hors Île-de-France et à 1 054 € dans la région parisienne, soit une hausse de 16 et 18 euros respectivement.
Cette taxe ne se limite pas aux simples abris de jardin. Elle s’applique également aux piscines, garages, extensions ou toute construction couverte et délimitée par des murs d’au moins 5 m² et 1,80 m de hauteur sous plafond.
Le calcul repose sur cette valeur forfaitaire, à laquelle s’ajoutent les taux fixés par les communes (entre 1 et 5 %, voire jusqu’à 20 % dans certaines zones nécessitant d’importantes infrastructures publiques).
Bonne nouvelle : certaines constructions échappent à cet impôt. Les abris de moins de 5 m² ou les structures ouvertes, comme les tonnelles, ne sont pas concernées. Certaines collectivités proposent également des exonérations pour des aménagements spécifiques.
Pour réduire cette charge, renseignez-vous sur les taux pratiqués par votre commune et explorez les éventuelles exonérations locales. Dans tous les cas, il est conseillé de bien anticiper cette dépense avant tout projet de construction.
En 2025, la taxe abri de jardin continue de peser sur les budgets, particulièrement pour les projets de construction modestes. Si vous envisagez des travaux, préparez-vous en vous informant auprès de votre mairie.
En 2025, la taxe abri de jardin augmente à nouveau, impactant les constructions comme les abris, piscines et garages. Basée sur l’indice du coût de la construction, cette taxe s’élève à 930 €/m² hors Île-de-France et 1 054 €/m² en Île-de-France. Des exonérations existent pour les petites structures. Informez-vous pour éviter les mauvaises surprises.
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